Trois poèmes par KidaLauzia Paquette.
Catégorie : Tribune libre
Un poème d’Abelle Michaud.
Un article d’Émile Arsenault-Laniel. La culture visuelle est en constante production, signifiant ainsi que des artistes travaillent de manière à rendre disponible à tous une multitude de facettes prenant racine dans le même tableau, c’est-à-dire la réalité.
Un poème d’Abelle Michaud.
Un article de Noah Boisjoli-Jebali. Pourquoi les jeunes préfèrent-ils désormais l’anglais au français ? C’est simple : le français est obsolète. Sa conception du genre diverge radicalement avec la réalité moderne et s’il ne s’y adapte pas, il mourra. C’est une question de sélection naturelle. Les risques, incontestables, se font déjà ressentir dans le déclin de la langue française au Québec.
Série de photographies par Émile Arsenault-Laniel.
Une nouvelle de KidaLauzia Paquette. Elle est assise là, dans la pièce à côté. Depuis les escaliers où il est assis, il peut la voir clairement, comme de l’eau de roche. Elle joue, sur son piano, une douce et apaisante mélodie, souriante et heureuse. Elle ne sait pas ce qu’il a prévu de faire.
Un poème de Noah Boisjoli-Jebali.
Une nouvelle de KidaLauzia Paquette. Il est tard, très tard. La maisonnée n’est que silence, comme si la vie s’était arrêtée durant le sommeil de l’être humain. Il fait noir, très noir.
Une nouvelle de Guillaume Houle. Demain, c’est la fin. Demain, c’est la fin. Demain, c’est la fin. Cette toute petite phrase tourne en boucle dans ma tête comme l’eau tiède de la douche me frappe le visage.
Un article de KidaLauzia Paquette. Beaucoup d’indignation a pu être observée sur Twitter ce dimanche dernier, alors que la population du Québec apprenait la mort de l’ours polaire ayant été aperçu en Haute-Gaspésie en fin de semaine.
Un poème d’Ophélie K. Lalumière.
Un article de Noah Boisjoli-Jebali. La ville de Montréal est un champ de mines pour les personnes malvoyantes. En réalité, derrière sa jolie bien-pensance se cache un système boiteux qui pousse ses handicapés aux marges de la société.
Un texte de Lola Berthomé.
Grandir, ce verbe qui semble si vertigineux, mais qui ne cesse de nous faire valser, doucement, ou brutalement. Mais qu’est-ce que cela veut dire?
Trois poèmes de Marie Rhéaume.