La fin de session est souvent un moment de remise en question. Il est facile de se perdre entre les notes, l’étude et les relations. Par chance, votre astrologue résidente au Trait d’Union est là pour vous guider vers le droit chemin, celui des étoiles. Bonne lecture à vous, enfants du cosmos.
Catégorie : Tribune libre
Un texte d’Émile Arsenault-Laniel. Son corps se glisse à travers le grillage. Dans l’ombre d’un viaduc, il enjambe les rails. La rue est déserte, la silhouette se déplace silencieusement avec le poids d’un sac sur les épaules.
Découvrez les trois photos gagnantes du tout premier concours Photo-Socio, organisé par Nancy Moreau, professeure de sociologie à Maisonneuve, et Émile Arsenault-Laniel, chef de pupitre et photographe au Trait d’Union.
Un poème de Nathan Lauzon.
Un poème de Minji Ardanuy-Jetté.
Trois poèmes par KidaLauzia Paquette.
Un poème d’Abelle Michaud.
Un article d’Émile Arsenault-Laniel. La culture visuelle est en constante production, signifiant ainsi que des artistes travaillent de manière à rendre disponible à tous une multitude de facettes prenant racine dans le même tableau, c’est-à-dire la réalité.
Un poème d’Abelle Michaud.
Un article de Noah Boisjoli-Jebali. Pourquoi les jeunes préfèrent-ils désormais l’anglais au français ? C’est simple : le français est obsolète. Sa conception du genre diverge radicalement avec la réalité moderne et s’il ne s’y adapte pas, il mourra. C’est une question de sélection naturelle. Les risques, incontestables, se font déjà ressentir dans le déclin de la langue française au Québec.
Série de photographies par Émile Arsenault-Laniel.
Une nouvelle de KidaLauzia Paquette. Elle est assise là, dans la pièce à côté. Depuis les escaliers où il est assis, il peut la voir clairement, comme de l’eau de roche. Elle joue, sur son piano, une douce et apaisante mélodie, souriante et heureuse. Elle ne sait pas ce qu’il a prévu de faire.
Un poème de Noah Boisjoli-Jebali.
Une nouvelle de KidaLauzia Paquette. Il est tard, très tard. La maisonnée n’est que silence, comme si la vie s’était arrêtée durant le sommeil de l’être humain. Il fait noir, très noir.
Une nouvelle de Guillaume Houle. Demain, c’est la fin. Demain, c’est la fin. Demain, c’est la fin. Cette toute petite phrase tourne en boucle dans ma tête comme l’eau tiède de la douche me frappe le visage.