Un éditorial de Noah Boisjoli-Jebali. Les journaux étudiants sont précaires. Tels le phénix, ils s’éteignent et renaissent dans un cycle sans fin, brassés par les générations, les grèves et les germes de révolutions. Le nom change, la ligne éditoriale évolue, le local se déplace… Mais le phénix perdure.