Un poème de Noah Boisjoli-Jebali.
Catégorie : Tribune libre
Une nouvelle de KidaLauzia Paquette. Il est tard, très tard. La maisonnée n’est que silence, comme si la vie s’était arrêtée durant le sommeil de l’être humain. Il fait noir, très noir.
Une nouvelle de Guillaume Houle. Demain, c’est la fin. Demain, c’est la fin. Demain, c’est la fin. Cette toute petite phrase tourne en boucle dans ma tête comme l’eau tiède de la douche me frappe le visage.
Un article de KidaLauzia Paquette. Beaucoup d’indignation a pu être observée sur Twitter ce dimanche dernier, alors que la population du Québec apprenait la mort de l’ours polaire ayant été aperçu en Haute-Gaspésie en fin de semaine.
Un poème d’Ophélie K. Lalumière.
Un article de Noah Boisjoli-Jebali. La ville de Montréal est un champ de mines pour les personnes malvoyantes. En réalité, derrière sa jolie bien-pensance se cache un système boiteux qui pousse ses handicapés aux marges de la société.
Un texte de Lola Berthomé.
Grandir, ce verbe qui semble si vertigineux, mais qui ne cesse de nous faire valser, doucement, ou brutalement. Mais qu’est-ce que cela veut dire?
Trois poèmes de Marie Rhéaume.
Une nouvelle de Vicky Delorme. Cher Charles, et voilà une lettre de plus qui vient de ta part. L’habitude ne fera pas défaut.
Un texte d’Anaïs Medouni. Ce que Baudelaire a appelé le spleen. Le mal de l’être et moi.
Une nouvelle de KidaLauzia Paquette. Tout le monde aime les samedis pour l’une des raisons suivantes : retrouver ses amis ou dormir jusqu’à midi.
Deux courts textes de KidaLauzia Paquette. N’est-ce pas cruel de fausser des sentiments? N’est-ce pas hypocrite de sourire lorsque tout n’est que mensonge?
Trois poèmes de Noah Boisjoli-Jebali.
Un article de Noah Boisjoli-Jebali. If it bleeds, it leads. C’est un principe connu en journalisme : la tragédie fascine. Malgré lui, l’esprit humain raffole de négativité – souvent aux frais de sa propre santé mentale.
Une nouvelle d’Ibrahima Barry. Il a plu hier soir, mes habits se sont mouillés, ma nourriture s’est souillée, mon esprit s’est embué, car je n’ai nul endroit où me reposer.