Un texte d’Émile Arsenault-Laniel
Lorsqu’il est question du graffiti, un art urbain par excellence, on perçoit aisément la connexion entre sa pratique et la liberté qu’elle offre. Des tunnels de la STM jusqu’aux façades du centre-ville, les graffeurs s’approprient l’espace public à grands jets de peinture, et cela, sans trop se restreindre.